Il a adopté, le 27 octobre, la proposition de loi relative aux mesures de surveillance des communications électroniques internationales qui a été transmise à l’Assemblée Nationale pour son examen seconde lecture. Elle a pour objet de pallier le vide juridique résultant de la censure par le Conseil constitutionnel d’une disposition de la loi relative au renseignement du 24 juillet dernier et d’éviter de laisser un vide juridique autour des dispositions législatives destinées à autoriser et à encadrer la surveillance des communications internationales.